Vous trouverez ci-dessous : à droite, la page où nous avons été un peu gauche avec l'orthographe ou la grammaire, au centre l'objet du délit, avec nos commentaires en rouge, et, à gauche, la punition qui nous sera appliquée, sans faute...
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Il est assez paradoxal de commencer, pour ceux qui connaissent les spectacles de Jeanluc ÉPALLLE, par une faute d’accent… c’est un comble
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On a beau dire qu’on ne le répétera jamais assez, là c’était un peu trop, « À ceux… à ceux… Assez, assez… »
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Encore une faute de plume un peu faisandée…
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En mathématique moins moins ça fait plus, en français plus plus, ça peut le faire moins…
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Un « mais » pour un « et ».
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Ça, c’est l’histoire de la moustache, qu’on porte depuis des années, puis un jour on se rase, et personne ne le remarque… Une coquille pareille dans le sous-titre !… qui pourrait laisser croire que Capri s’est finie elle même… Mais où avions nous les yeux?
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La faute classique de l’analphabète comme ses pieds…
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Un pluriel bien singulier !
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Bien évidemment contraction de « qui a » …et pas de « qui à » ! Encore une faute d'ACCENT ! Encore un comble !
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Là encore un pluriel bien singulier ! Emporté par l’élan du « on » qui fait, dans l’esprit, office de pluriel… mais pas à la lettre, 3ème personne du singulier, c’est troisième personne du singulier, la règle est dure, mais c’est la règle… Encore que ! le "on" sous-entendant "nous-autres"... la faute est discutable, après tout. C'est la grande difficulté du langage parlé à l'écrit...
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J’aimerais bien savoir qui est venu, sans y être convié, prendre le « T » chez nous, c’est un peu fort de café, non?
Quand au "s'escuser" la faute est volontaire et assumée !...
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Un drôle d’R qui est venu prendre l’R ici et qui ne l’a pas pris…
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Une usine pour un seul roulement, ce serait un peu disproportionné, pas de quoi rouler les mécaniques.
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La fameuse règle, parfois assez compliquée, des pluriels de mots composé, mais là, pourtant c’était plutôt simple, quand le premier mot du mot composé est un verbe, il est bien évident qu’on ne lui met pas d’S. S bien compris ?
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Les gentilés, fussent-ils pas très gentils, prennent une majuscule, comme dans la préposition précédente.
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Là encore un pluriel bien singulier ! Emporté par l’élan du « on » qui fait, dans l’esprit, office de pluriel… mais pas à la lettre, 3ème personne du singulier, c’est troisième personne du singulier, la règle est dure, mais c’est la règle… Encore que ! le "on" sous-entendant "nous-autres"... la faute est discutable, après tout. C'est la grande difficulté du langage parlé à l'écrit...
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C’est pourtant simple, remplacer, le temps de la vérification, le verbe du 1er groupe par un verbe du 3ème, par exemple, nous dirions : « Pis on a bien pris » et pas : « Pis on a bien prendre » Pan! sur le bec !…
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Quel est le « on » qui commande ? Eh bien, celui de la troisième personne du singulier, même si ce « on » généralise et induit une idée de pluriel… Encore que ! le "on" sous-entendant "nous-autres"... la faute est discutable, après tout. C'est la grande difficulté du langage parlé à l'écrit...
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Un « de » qui est allé faire un séjour ailleurs que devant « ces jours »
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Les gentilés, fussent-ils pas très gentils, prennent une majuscule, alors double raison d'en avoir une pour les Stéphanois, non ?
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Une inversion pareille, y a de quoi vous mettre à l’envers, « Y en » Hi Han! Hi Han! Bougre d’âne…, au lieu de « Y a »… d’accord? Et pas qu’en allemand…
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Le tréma qui passe à la trémie, je ne vous tire pas mon chapeau… Sire conflexe…
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La honte ! Certes, ça fait beaucoup d’ « E » sans casser les yeux… Même si mettre un « R » à créé est plutôt créatif…
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La honte ! Certes, ça fait beaucoup d’ « E » sans casser les yeux… Même si mettre un « R » à créé est plutôt créatif…
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Toute une strophe et le refrain final qui passe à la trappe ! Cela fait une chanson sans fin…
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Même si une seule peut vous « coufler », ici le pluriel s’impose…
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Encore une fois ce fameux « on » de la troisième personne du singulier…
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Le « S » s’est évaporé, surement à cause du séchage…
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C’est tellement évident, 2 ème personne du singulier, mode impératif, le « S » n’est pas facultatif, il est…impératif !
Ce sont divers faits qui font des faits divers, sinon ça jette un froid…
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C’est vrai que les « T » c’est mieux pour se mettre au vert… Même pour le mettre aux vers… du poème.
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Cacamerlot et non pas Cancamerlot, c'est visiblement l'ancien gentilé de Saint-Bonnet-le-Château, l'actuel étant Sambonitains... Il existait aussi la forme Cacamarlous... Qui viendrait du fait que les habitants du coin auraient été de gros consommateurs de morue ( salée, ça l'est, plus sûrement que fraîche !!! )... Leur nom viendrait donc de leur déjections !!! Je le narre car c'est narrant mais à mettre au conditionnel et à prendre avec des pincettes...
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Les "E" vaut mieux les garder pour les pâtes, et pas les mettre dans les noms, fussent-ils propres. Écorchons les lapins, pas les noms, non ?
Tonio, est le créateur de la Pizzeria en 1968, et le créateur aussi de son successeur, Marco, puisque celui-ci est son fils… Bon l’erreur n’est pas trop grave, puisque ça reste dans la famille, mais nos plus plates excuses quand même, encore plus plates que les pizzas de Marco de la Pizzeria Tonio… Qui, bonne pâte, ne manquera pas de nous pardonner.
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Si on peut rire de tout (mais pas avec n’importe qui, comme disait Desproges) on ne peut pas rire tout le temps. Outre le fait que cela pourrait user les commissures, épuiser les zygomatiques, fatiguer le diaphragme, cela pourrait tarir le rire lui-même. Il est bon et salutaire de parfois savoir reprendre son souffle. Et quitte à rire sans tarir, il faut, de temps à autres, utiliser, pour se régénérer, la « force mots tristes ». Jeanluc ÉPALLLE a presque toujours employé ce processus : une bonne salve de rire et puis, soudainement, au moment où l’on s’y attend le moins, une touche d’émotion, d’hommage, de mémoire. C’est ce que l’on retrouve ici : ces passages de rire et d’auto-dérision qui font, depuis longtemps déjà, les grandes heures de l’ÉPALLLE-THÉÂTRE L’AUTRE-LIEU, à la Ricamarie, ou sur bien d’autres scènes de notre territoire, puis le frisson et les larmes, où la nostalgie flirte avec la poésie pour partager un instant d’universel.
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